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Mitzar Castillejos Tenazoa is the fourth journalist to be killed in Peru this year. His death has made 2025 the deadliest year for Peruvian journalists in at least 30 years.

Aged 34, he died from gunshot injuries to the arm and abdomen sustained on 12 December, when hitmen open fire as he left his home to go Radio Latín Plus 107.7 FM, where he presented a TV news programme. He also edited the news website Bato a Informarte Noticias, often denouncing irregularities and corruption involving municipal authorities.

After a shocking spate of murders targeting media professionals, the authorities must take urgent measures, conducting thorough, independent and transparent investigations to bring those responsible to justice as quickly as possible, and adopting effective protection mechanisms for journalists, especially at the regional level.
–
Mitzar Castillejos Tenazoa est le quatrième journaliste tué au Pérou cette année, ce qui en fait l’année la plus meurtrière pour les journalistes dans le pays depuis au moins 30 ans.

Le journaliste de 34 ans a succombé à des blessures par balles le 12 décembre. Le présentateur du journal télévisé sur Radio Latín Plus 107.7 FM et rédacteur en chef du site d’information Bato a Informarte Noticias, qui dénonçait régulièrement des irrégularités et la corruption impliquant des autorités municipales, avait été la cible de tirs par arme à feu, alors qu’il quittait son domicile pour se rendre à la radio et avait été grièvement blessé au bras et à l’abdomen.

Après une terrible succession de meurtres visant des professionnels des médias, les autorités doivent prendre des mesures de toute urgence : mener des enquêtes approfondies, indépendantes et transparentes, afin de traduire en justice au plus vite les responsables de ces crimes, et adopter des mécanismes de protection efficaces pour les journalistes, en particulier au niveau régional.
Mitzar Castillejos Tenazoa is the fourth journalist to be killed in Peru this year. His death has made 2025 the deadliest year for Peruvian journalists in at least 30 years.

Aged 34, he died from gunshot injuries to the arm and abdomen sustained on 12 December, when hitmen open fire as he left his home to go Radio Latín Plus 107.7 FM, where he presented a TV news programme. He also edited the news website Bato a Informarte Noticias, often denouncing irregularities and corruption involving municipal authorities.

After a shocking spate of murders targeting media professionals, the authorities must take urgent measures, conducting thorough, independent and transparent investigations to bring those responsible to justice as quickly as possible, and adopting effective protection mechanisms for journalists, especially at the regional level.
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Mitzar Castillejos Tenazoa est le quatrième journaliste tué au Pérou cette année, ce qui en fait l’année la plus meurtrière pour les journalistes dans le pays depuis au moins 30 ans.

Le journaliste de 34 ans a succombé à des blessures par balles le 12 décembre. Le présentateur du journal télévisé sur Radio Latín Plus 107.7 FM et rédacteur en chef du site d’information Bato a Informarte Noticias, qui dénonçait régulièrement des irrégularités et la corruption impliquant des autorités municipales, avait été la cible de tirs par arme à feu, alors qu’il quittait son domicile pour se rendre à la radio et avait été grièvement blessé au bras et à l’abdomen.

Après une terrible succession de meurtres visant des professionnels des médias, les autorités doivent prendre des mesures de toute urgence : mener des enquêtes approfondies, indépendantes et transparentes, afin de traduire en justice au plus vite les responsables de ces crimes, et adopter des mécanismes de protection efficaces pour les journalistes, en particulier au niveau régional.
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Mitzar Castillejos Tenazoa is the fourth journalist to be killed in Peru this year. His death has made 2025 the deadliest year for Peruvian journalists in at least 30 years. Aged 34, he died from gunshot injuries to the arm and abdomen sustained on 12 December, when hitmen open fire as he left his home to go Radio Latín Plus 107.7 FM, where he presented a TV news programme. He also edited the news website Bato a Informarte Noticias, often denouncing irregularities and corruption involving municipal authorities. After a shocking spate of murders targeting media professionals, the authorities must take urgent measures, conducting thorough, independent and transparent investigations to bring those responsible to justice as quickly as possible, and adopting effective protection mechanisms for journalists, especially at the regional level. – Mitzar Castillejos Tenazoa est le quatrième journaliste tué au Pérou cette année, ce qui en fait l’année la plus meurtrière pour les journalistes dans le pays depuis au moins 30 ans. Le journaliste de 34 ans a succombé à des blessures par balles le 12 décembre. Le présentateur du journal télévisé sur Radio Latín Plus 107.7 FM et rédacteur en chef du site d’information Bato a Informarte Noticias, qui dénonçait régulièrement des irrégularités et la corruption impliquant des autorités municipales, avait été la cible de tirs par arme à feu, alors qu’il quittait son domicile pour se rendre à la radio et avait été grièvement blessé au bras et à l’abdomen. Après une terrible succession de meurtres visant des professionnels des médias, les autorités doivent prendre des mesures de toute urgence : mener des enquêtes approfondies, indépendantes et transparentes, afin de traduire en justice au plus vite les responsables de ces crimes, et adopter des mécanismes de protection efficaces pour les journalistes, en particulier au niveau régional.
1 day ago
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1/6
À peine quinze jours après le coup d’État du 26 novembre, le nouveau ministre de la Communication sociale de #Guinée-Bissau a rencontré les principaux directeurs de médias du pays pour leur présenter la charte de la transition et une déclaration selon laquelle : “Le haut commandement militaire invite tous les médias à collaborer afin d’éviter la diffusion d’informations et de messages appelant à la violence et à la désobéissance civile sous peine d’être immédiatement fermés.” 

Des responsables de médias y voient déjà un appel “à l’autocensure” et craignent un contrôle de l’information qui, dans des pays tels que le Mali ou le Burkina Faso, a contraint la presse à “un traitement patriotique” de l’actualité, brimant toute information indépendante et critique.

Nous proposons aux autorités de transition de Guinée-Bissau des mesures urgentes pour garantir le libre exercice du journalisme. Il est crucial que le droit à l’information prévale en toute circonstance et que les médias exercent leur mission sans risque de représailles.

Lisez l'article complet sur rsf.org ou dans le lien en la bio 🔗
--
The new social communication minister in #Guinea-Bissau met with the country's main media directors two weeks after the coup to present them with the transition charter and a statement saying: “The Military High Command calls on all media outlets to cooperate in order to avoid disseminating information and messages inciting violence and civil disobedience, on pain of immediate closure.”

Media executives have said they see this as a call for “self-censorship” and fear the kind of news control that has imposed “patriotic” news coverage stifling all independent and critical reporting in nearby countries such as Mali and Burkina Faso.

We are proposing urgent measures for Guinea-Bissau’s transitional authorities to take to safeguard journalistic freedom. It is crucial that the right to information prevails under all circumstances and that the media are able to carry out their work without reprisals.

Read the full article at rsf.org or in the link in bio 🔗
À peine quinze jours après le coup d’État du 26 novembre, le nouveau ministre de la Communication sociale de #Guinée-Bissau a rencontré les principaux directeurs de médias du pays pour leur présenter la charte de la transition et une déclaration selon laquelle : “Le haut commandement militaire invite tous les médias à collaborer afin d’éviter la diffusion d’informations et de messages appelant à la violence et à la désobéissance civile sous peine d’être immédiatement fermés.” 

Des responsables de médias y voient déjà un appel “à l’autocensure” et craignent un contrôle de l’information qui, dans des pays tels que le Mali ou le Burkina Faso, a contraint la presse à “un traitement patriotique” de l’actualité, brimant toute information indépendante et critique.

Nous proposons aux autorités de transition de Guinée-Bissau des mesures urgentes pour garantir le libre exercice du journalisme. Il est crucial que le droit à l’information prévale en toute circonstance et que les médias exercent leur mission sans risque de représailles.

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The new social communication minister in #Guinea-Bissau met with the country's main media directors two weeks after the coup to present them with the transition charter and a statement saying: “The Military High Command calls on all media outlets to cooperate in order to avoid disseminating information and messages inciting violence and civil disobedience, on pain of immediate closure.”

Media executives have said they see this as a call for “self-censorship” and fear the kind of news control that has imposed “patriotic” news coverage stifling all independent and critical reporting in nearby countries such as Mali and Burkina Faso.

We are proposing urgent measures for Guinea-Bissau’s transitional authorities to take to safeguard journalistic freedom. It is crucial that the right to information prevails under all circumstances and that the media are able to carry out their work without reprisals.

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À peine quinze jours après le coup d’État du 26 novembre, le nouveau ministre de la Communication sociale de #Guinée-Bissau a rencontré les principaux directeurs de médias du pays pour leur présenter la charte de la transition et une déclaration selon laquelle : “Le haut commandement militaire invite tous les médias à collaborer afin d’éviter la diffusion d’informations et de messages appelant à la violence et à la désobéissance civile sous peine d’être immédiatement fermés.” Des responsables de médias y voient déjà un appel “à l’autocensure” et craignent un contrôle de l’information qui, dans des pays tels que le Mali ou le Burkina Faso, a contraint la presse à “un traitement patriotique” de l’actualité, brimant toute information indépendante et critique. Nous proposons aux autorités de transition de Guinée-Bissau des mesures urgentes pour garantir le libre exercice du journalisme. Il est crucial que le droit à l’information prévale en toute circonstance et que les médias exercent leur mission sans risque de représailles. Lisez l'article complet sur rsf.org ou dans le lien en la bio 🔗 -- The new social communication minister in #Guinea-Bissau met with the country's main media directors two weeks after the coup to present them with the transition charter and a statement saying: “The Military High Command calls on all media outlets to cooperate in order to avoid disseminating information and messages inciting violence and civil disobedience, on pain of immediate closure.” Media executives have said they see this as a call for “self-censorship” and fear the kind of news control that has imposed “patriotic” news coverage stifling all independent and critical reporting in nearby countries such as Mali and Burkina Faso. We are proposing urgent measures for Guinea-Bissau’s transitional authorities to take to safeguard journalistic freedom. It is crucial that the right to information prevails under all circumstances and that the media are able to carry out their work without reprisals. Read the full article at rsf.org or in the link in bio 🔗
2 days ago
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2/6
The founder of the investigative website Fact Focus, Ahmad Noorani has been based in the United States since March 2020. But he remains in the authorities’ crosshairs even in exile and is now caught up in fresh legal proceedings.
In response to a referral by the National Cyber Crime Investigation Agency and claims that he failed to respond to several summonses, an Islamabad court ruled on 3 December that an arrest warrant be issued on the basis of complaints allegedly filed for “propaganda” against the army on social media. He has been the subject of multiple accusations in Pakistan since the publication of his investigation into the country’s army chief, General Asim Munir, in March 2025.
The misuse of the judiciary and the law to target this journalist shows a worrying increase in authoritarianism. Ahmad Noorani has been subjected to relentless, multifaceted persecution, with reprisals against him and his family.
We call on the Pakistani authorities to drop all unfounded charges against Ahmad Noorani immediately and put an end to the judicial and financial harassment of his relatives. We also call on the US authorities to protect this journalist on their soil.
–
Poursuivi jusqu’en exil. C’est le terrible sort réservé au journaliste, Ahmad Noorani, fondateur du site d’investigation Fact Focus, qui vit aux États-Unis depuis mars 2020. Un magistrat d’Islamabad l’a désigné, le 3 décembre dernier, comme “personne recherchée” (proclaimed offender). 
Saisi par l’Agence nationale d’enquête sur la cybercriminalité, le tribunal affirme que le journaliste n’a pas répondu à plusieurs convocations. Il a alors ordonné l’émission un mandat d’arrêt sur la base de plaintes qui auraient été déposées pour « propagande » contre l’armée sur les réseaux sociaux. Il fait l’objet de multiples accusations au Pakistan depuis la publication, en mars 2025, d’une enquête sur le chef d'état-major de l'armée, le général Asim Munir.
Nous demandons aux autorités pakistanaises d’abandonner immédiatement toutes les charges infondées contre Ahmad Noorani. Nous appelons également les autorités américaines à protéger le journaliste sur leur sol.
The founder of the investigative website Fact Focus, Ahmad Noorani has been based in the United States since March 2020. But he remains in the authorities’ crosshairs even in exile and is now caught up in fresh legal proceedings.
In response to a referral by the National Cyber Crime Investigation Agency and claims that he failed to respond to several summonses, an Islamabad court ruled on 3 December that an arrest warrant be issued on the basis of complaints allegedly filed for “propaganda” against the army on social media. He has been the subject of multiple accusations in Pakistan since the publication of his investigation into the country’s army chief, General Asim Munir, in March 2025.
The misuse of the judiciary and the law to target this journalist shows a worrying increase in authoritarianism. Ahmad Noorani has been subjected to relentless, multifaceted persecution, with reprisals against him and his family.
We call on the Pakistani authorities to drop all unfounded charges against Ahmad Noorani immediately and put an end to the judicial and financial harassment of his relatives. We also call on the US authorities to protect this journalist on their soil.
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Poursuivi jusqu’en exil. C’est le terrible sort réservé au journaliste, Ahmad Noorani, fondateur du site d’investigation Fact Focus, qui vit aux États-Unis depuis mars 2020. Un magistrat d’Islamabad l’a désigné, le 3 décembre dernier, comme “personne recherchée” (proclaimed offender). 
Saisi par l’Agence nationale d’enquête sur la cybercriminalité, le tribunal affirme que le journaliste n’a pas répondu à plusieurs convocations. Il a alors ordonné l’émission un mandat d’arrêt sur la base de plaintes qui auraient été déposées pour « propagande » contre l’armée sur les réseaux sociaux. Il fait l’objet de multiples accusations au Pakistan depuis la publication, en mars 2025, d’une enquête sur le chef d'état-major de l'armée, le général Asim Munir.
Nous demandons aux autorités pakistanaises d’abandonner immédiatement toutes les charges infondées contre Ahmad Noorani. Nous appelons également les autorités américaines à protéger le journaliste sur leur sol.
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The founder of the investigative website Fact Focus, Ahmad Noorani has been based in the United States since March 2020. But he remains in the authorities’ crosshairs even in exile and is now caught up in fresh legal proceedings. In response to a referral by the National Cyber Crime Investigation Agency and claims that he failed to respond to several summonses, an Islamabad court ruled on 3 December that an arrest warrant be issued on the basis of complaints allegedly filed for “propaganda” against the army on social media. He has been the subject of multiple accusations in Pakistan since the publication of his investigation into the country’s army chief, General Asim Munir, in March 2025. The misuse of the judiciary and the law to target this journalist shows a worrying increase in authoritarianism. Ahmad Noorani has been subjected to relentless, multifaceted persecution, with reprisals against him and his family. We call on the Pakistani authorities to drop all unfounded charges against Ahmad Noorani immediately and put an end to the judicial and financial harassment of his relatives. We also call on the US authorities to protect this journalist on their soil. – Poursuivi jusqu’en exil. C’est le terrible sort réservé au journaliste, Ahmad Noorani, fondateur du site d’investigation Fact Focus, qui vit aux États-Unis depuis mars 2020. Un magistrat d’Islamabad l’a désigné, le 3 décembre dernier, comme “personne recherchée” (proclaimed offender). Saisi par l’Agence nationale d’enquête sur la cybercriminalité, le tribunal affirme que le journaliste n’a pas répondu à plusieurs convocations. Il a alors ordonné l’émission un mandat d’arrêt sur la base de plaintes qui auraient été déposées pour « propagande » contre l’armée sur les réseaux sociaux. Il fait l’objet de multiples accusations au Pakistan depuis la publication, en mars 2025, d’une enquête sur le chef d'état-major de l'armée, le général Asim Munir. Nous demandons aux autorités pakistanaises d’abandonner immédiatement toutes les charges infondées contre Ahmad Noorani. Nous appelons également les autorités américaines à protéger le journaliste sur leur sol.
5 days ago
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3/6
🎄 Joyeux Noël de la part de RSF !
On espère que vous profitez d’un moment de douceur avec notre album Studio Ghibli.

On se retrouve en 2026, passez de belles fêtes ! 💫
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🎄 Joyeux Noël de la part de RSF ! On espère que vous profitez d’un moment de douceur avec notre album Studio Ghibli. On se retrouve en 2026, passez de belles fêtes ! 💫
6 days ago
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4/6
The possible sale of @la_stampa and @larepubblica to the Antenna group, owned by Greek entrepreneur and ship-owner Theodore Kyriakou, poses a risk to the independence and pluralism of information in Italy. Guarantees of editorial independence remain unclear, and this transaction could permanently upset the balance of the Italian media landscape and threaten the right to pluralistic and independent information.

Journalists at La Repubblica organized a one-day strike, stating that “what is at stake is not the survival of a mere brand, but that of critical thinking in this country.” Journalists at La Stampa also observed a one-day strike. La Stampa and La Repubblica, both center-left leaning, are two major daily newspapers in the Italian media landscape.

It is therefore essential that strong guarantees be publicly provided to the titles concerned.
Read our full article at rsf.org or via the link in our bio.
–
La possible vente de @la_stampa et @larepubblica, au groupe Antenna, propriété de l’armateur grec Théodore Kyriakou, fait peser un risque sur l’indépendance et le pluralisme de l’information en Italie. Les garanties d’indépendance éditoriale restent floues, et cette opération pourrait déséquilibrer durablement le paysage médiatique italien et constituer une menace pour le droit à une information pluraliste et indépendante. 

Les journalistes de La Repubblica ont organisé une journée de grève affirmant que « ce qui est en jeu, ce n’est pas la survie d’une simple marque, mais celle d’une pensée critique dans ce pays ». Les journalistes de La Stampa ont, eux aussi, observé une journée de grève. La Stampa et La Repubblica, tous deux orientés au centre gauche, sont deux quotidiens majeurs du paysage médiatique italien.

Il est essentiel d’apporter publiquement aux titres concernés des garanties d’indépendance solides.
Lisez notre article en entier sur rsf.org ou dans le lien en bio.
The possible sale of @la_stampa and @larepubblica to the Antenna group, owned by Greek entrepreneur and ship-owner Theodore Kyriakou, poses a risk to the independence and pluralism of information in Italy. Guarantees of editorial independence remain unclear, and this transaction could permanently upset the balance of the Italian media landscape and threaten the right to pluralistic and independent information.

Journalists at La Repubblica organized a one-day strike, stating that “what is at stake is not the survival of a mere brand, but that of critical thinking in this country.” Journalists at La Stampa also observed a one-day strike. La Stampa and La Repubblica, both center-left leaning, are two major daily newspapers in the Italian media landscape.

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La possible vente de @la_stampa et @larepubblica, au groupe Antenna, propriété de l’armateur grec Théodore Kyriakou, fait peser un risque sur l’indépendance et le pluralisme de l’information en Italie. Les garanties d’indépendance éditoriale restent floues, et cette opération pourrait déséquilibrer durablement le paysage médiatique italien et constituer une menace pour le droit à une information pluraliste et indépendante. 

Les journalistes de La Repubblica ont organisé une journée de grève affirmant que « ce qui est en jeu, ce n’est pas la survie d’une simple marque, mais celle d’une pensée critique dans ce pays ». Les journalistes de La Stampa ont, eux aussi, observé une journée de grève. La Stampa et La Repubblica, tous deux orientés au centre gauche, sont deux quotidiens majeurs du paysage médiatique italien.

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1 week ago
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5/6
Violence against journalists in #Peru escalated in 2025 — right into the month of December. 

On Dec 19th, the vehicle of Anthony Rumiche Rodríguez, a journalist for the broadcaster Prensa Callao TV, was attacked by 20 gunshots outside his home just hours after he had covered a regional government press conference and challenged restrictions on journalists’ ability to provide news coverage. Luckily, he was unharmed, according to RSF information. 

Days earlier, radio host Mitzar Castillejos Tenazoa was shot in Aguaytía while en route to the recording studio — and he’s still in critical condition. On 6 December, media director Juan Fernando Núñez Guevara was murdered by armed men on motorcycles in the northern province of Pacasmayo.

Despite the rapid pace of these attacks and how grave they are, to our knowledge, no high-level public statements have been made in defence of journalism. 
This silence and lack of change for the better are fuelling a climate of impunity — especially for crimes against local and investigative journalists. 

—
Escalade de violences contre les journalistes au #Pérou en 2025. Et ça continue en ce mois de décembre : le véhicule du journaliste Anthony Rumiche Rodríguez, de la chaîne de télévision Prensa Callao TV, a été pris pour cible par une vingtaine de coups de feu devant son domicile, quelques heures après avoir couvert une conférence de presse du gouvernement régional et contesté les restrictions imposées à l'exercice du journalisme d'investigation. Il n'a pas été blessé, selon les informations recueillies par RSF.

Quelques jours plus tôt, Mitzar Castillejos Tenazoa a été victime d'une fusillade à Aguaytía alors qu'il se rendait au studio d'enregistrement de son émission. Il est toujours dans un état critique. Le 6 décembre, Juan Fernando Núñez Guevara a été assassiné par des hommes armés circulant à moto dans le nord du pays.

Malgré la gravité de ces attaques et leur succession rapide, nous n'avons constaté aucune déclaration publique de haut niveau en défense du journalisme. Ce silence et cette absence de résultats alimentent un climat d'impunité qui touche particulièrement le journalisme local et d'investigation.
Violence against journalists in #Peru escalated in 2025 — right into the month of December. 

On Dec 19th, the vehicle of Anthony Rumiche Rodríguez, a journalist for the broadcaster Prensa Callao TV, was attacked by 20 gunshots outside his home just hours after he had covered a regional government press conference and challenged restrictions on journalists’ ability to provide news coverage. Luckily, he was unharmed, according to RSF information. 

Days earlier, radio host Mitzar Castillejos Tenazoa was shot in Aguaytía while en route to the recording studio — and he’s still in critical condition. On 6 December, media director Juan Fernando Núñez Guevara was murdered by armed men on motorcycles in the northern province of Pacasmayo.

Despite the rapid pace of these attacks and how grave they are, to our knowledge, no high-level public statements have been made in defence of journalism. 
This silence and lack of change for the better are fuelling a climate of impunity — especially for crimes against local and investigative journalists. 

—
Escalade de violences contre les journalistes au #Pérou en 2025. Et ça continue en ce mois de décembre : le véhicule du journaliste Anthony Rumiche Rodríguez, de la chaîne de télévision Prensa Callao TV, a été pris pour cible par une vingtaine de coups de feu devant son domicile, quelques heures après avoir couvert une conférence de presse du gouvernement régional et contesté les restrictions imposées à l'exercice du journalisme d'investigation. Il n'a pas été blessé, selon les informations recueillies par RSF.

Quelques jours plus tôt, Mitzar Castillejos Tenazoa a été victime d'une fusillade à Aguaytía alors qu'il se rendait au studio d'enregistrement de son émission. Il est toujours dans un état critique. Le 6 décembre, Juan Fernando Núñez Guevara a été assassiné par des hommes armés circulant à moto dans le nord du pays.

Malgré la gravité de ces attaques et leur succession rapide, nous n'avons constaté aucune déclaration publique de haut niveau en défense du journalisme. Ce silence et cette absence de résultats alimentent un climat d'impunité qui touche particulièrement le journalisme local et d'investigation.
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Violence against journalists in #Peru escalated in 2025 — right into the month of December. On Dec 19th, the vehicle of Anthony Rumiche Rodríguez, a journalist for the broadcaster Prensa Callao TV, was attacked by 20 gunshots outside his home just hours after he had covered a regional government press conference and challenged restrictions on journalists’ ability to provide news coverage. Luckily, he was unharmed, according to RSF information. Days earlier, radio host Mitzar Castillejos Tenazoa was shot in Aguaytía while en route to the recording studio — and he’s still in critical condition. On 6 December, media director Juan Fernando Núñez Guevara was murdered by armed men on motorcycles in the northern province of Pacasmayo. Despite the rapid pace of these attacks and how grave they are, to our knowledge, no high-level public statements have been made in defence of journalism. This silence and lack of change for the better are fuelling a climate of impunity — especially for crimes against local and investigative journalists. — Escalade de violences contre les journalistes au #Pérou en 2025. Et ça continue en ce mois de décembre : le véhicule du journaliste Anthony Rumiche Rodríguez, de la chaîne de télévision Prensa Callao TV, a été pris pour cible par une vingtaine de coups de feu devant son domicile, quelques heures après avoir couvert une conférence de presse du gouvernement régional et contesté les restrictions imposées à l'exercice du journalisme d'investigation. Il n'a pas été blessé, selon les informations recueillies par RSF. Quelques jours plus tôt, Mitzar Castillejos Tenazoa a été victime d'une fusillade à Aguaytía alors qu'il se rendait au studio d'enregistrement de son émission. Il est toujours dans un état critique. Le 6 décembre, Juan Fernando Núñez Guevara a été assassiné par des hommes armés circulant à moto dans le nord du pays. Malgré la gravité de ces attaques et leur succession rapide, nous n'avons constaté aucune déclaration publique de haut niveau en défense du journalisme. Ce silence et cette absence de résultats alimentent un climat d'impunité qui touche particulièrement le journalisme local et d'investigation.
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